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Maxime, soigné pour un cancer de la gorge

Maxime, soigné pour un cancer de la gorge
« Je me suis tout de suite demandé pourquoi ? J’ai un mode de vie très sain, je ne fume pas, je ne bois pas et fais du sport régulièrement. Pas de chance, mon cancer est en fait lié à une infection au HPV et à mon époque on ne vaccinait que les filles car on pensait que les garçons ne pouvaient pas être touchés. »

Suivi à l’Institut Curie pour un cancer de la gorge induit par une infection au papillomavirus humain (HPV), Maxime raconte son histoire face à la maladie, de sa détection à sa prise en charge et témoigne de l’importance d’une vaccination HPV généralisée pour les filles et les garçons, afin de réduire les risques.

« J’avais un énorme ganglion qui était apparu très soudainement dans ma gorge. J’ai alors consulté un médecin immédiatement et après plusieurs examens dont un TEP-scan, on m’a diagnostiqué un cancer de la gorge à seulement 40 ans. 

Au début, j’étais dans l’incompréhension : je ne fume pas, je ne bois pas, je pratique du sport régulièrement… Bref, j’ai un mode de vie très sain. Mais pas de chance, mon cancer est en fait lié à une infection au papillomavirus. Je n’avais aucune idée que le virus HPV pouvait toucher aussi les garçons. A mon époque, on ne vaccinait que les filles car on pensait que les garçons ne pouvaient pas être touchés.

Mais j’ai la chance d’être bien entouré et grâce à mon métier d’animateur radio, de pouvoir parler sans tabou de la maladie. Depuis l’annonce de mon cancer, je me suis engagé dans une démarche de sensibilisation et de prévention, pour que la vaccination HPV soit renforcée pour les filles et les garçons. J’espère grâce à ma prise de parole dans les médias et sur les réseaux sociaux, que mon histoire permette d’éviter que cela arrive à d’autres : nous avons un moyen sûr et efficace de se protéger du HPV, la vaccination.

Aujourd’hui, je suis très rassuré par ma prise en charge à l’Institut Curie, les équipes sont formidables, bienveillantes, à l’écoute. Après une première chirurgie assistée par robotique à l’Institut Mutualiste de Montsouris dont l’Institut Curie est partenaire, j’ai suivi plusieurs séances de radiothérapie avant de commencer la chimiothérapie. Mon parcours a été très fluide et j’ai toujours été bien informé, même lors des passerelles entre l’IMM et l’Institut Curie.

J’ai toujours été de nature très positive. Aujourd’hui, je suis convaincu qu’en libérant la parole autour du cancer, nous avanceront vers un avenir sans cancer lié au HPV.  Â» 

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Béatrice, soignée pour un mélanome uvéal

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Etienne, soigné pour un sarcome d’Ewing

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