- Accueil >
- Les actualités de l'Institut Curie >
- Y a-t-il un risque de dépression sous hormonothérapie ?
L’hormonothérapie fait partie des traitements médicamenteux les plus fréquemment utilisés contre le cancer. Il s’agit d’un des domaines de pointe de l’Institut Curie. L’hormonothérapie concerne presque exclusivement les cancers du sein chez la femme et de la prostate chez l’homme. Ces cancers mettent en jeu les hormones sexuelles. Œstrogènes chez la femme et androgènes chez l’homme, ces hormones ont une fonction de prolifération. D’un point de vue biologique, elles favorisent le renouvellement tissulaire.
En savoir plus sur l'hormonothérapie
Y a-t-il un risque de dépression sous hormonothérapie ?
Environ 20 % des patientes présentent des symptômes dépressifs après un cancer du sein, indépendamment de l’hormonothérapie.
Ces troubles sont souvent multifactoriels : fatigue, stress, douleur, antécédents personnels…
Une prise en charge adaptée (psychologique, médicamenteuse via certains traitements anti-dépresseurs, ou par soins de support) est essentielle.
Certains traitements anti-dépresseurs peuvent interagir avec l’hormonothérapie (notamment le tamoxifène). L’oncologue doit toujours être informé en cas de prescription.
Les autres questions fréquentes sur l'hormonothérapie du cancer du sein
- L'hormonothérapie augmente-t-elle le risque d'ostéoporose ?
- Quelle alimentation pendant l’hormonothérapie ?
- L'hormonothérapie peut-elle provoquer des troubles du sommeil ?
- L'hormonothérapie affecte-t-elle la libido ?
- Le désir de grossesse et l’hormonothérapie sont-ils compatibles ?
- Quel est le niveau recommandé d'activité physique sous hormonothérapie ?
En savoir plus sur l'hormonothérapie du cancer du sein
Les actualités en soin
Découvrir toutes nos actualités
Septembre Turquoise
L’Institut Curie mobilisé pour prévenir, comprendre et soigner les cancers gynécologiques
04/09/2025
Septembre en or
À l’Institut Curie, la vie continue pendant les soins pour les enfants et leur famille
01/09/2025